Qu’il soit film documentaire ou de fiction, en images réelles ou en animation, toute œuvre cinématographique peut, à sa façon, donner à la nature un rôle essentiel et de multiples façons :
– La nature et les risques qui la menacent, dans Animal Totem de Benoît Delépine, en suivant Darius, super héros façon Jacques Tati, mener à bien sa mystérieuse mission, sans empreinte carbone, ou bien, en accompagnant, dans Planètes de Momoko Seto, quatre graines de pissenlit rescapées d’explosions nucléaires et qui cherchent une terre d’accueil
– la nature à l’état brut, froide, voire mystérieuse de L’Engloutie de Louise Hémon
– la nature, source d’humanité, pour redonner un sens à la vie de Laurent dans le vent de Anton Balekdjian, Léo Couture et Mattéo Eustachon, et,
– l’amour de la nature et sa transmission dans Le chant des forêts de Vincent Munier, où trois regards, trois générations partagent respect et fascination pour la vie sauvage.